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Ne cochez que les affirmations justes.



1. Le quartier de Pigalle est un quartier de théâtre, de dansing. 

2. L'équipe a décidée de boire le champagne et de passer toute la nuit à Pigalle, dans une petite boîte de nuit. 

3. On promène les touristes étrangers à Montmartre et à Pigalle et ils s'imaginent que Paris, c'est cela, c'est uniquement cela. 

4. Les équipiers blottis à l'intérieur de la camionnette surveillaient les abords. 

5. Mme Barbassou s'inquiétait beaucoup de ne pas avoir vu rentrer les Berlurettois à l'heure attendue. 

6. Le nom de tatave avait été souligné deux fois sur une feuille de papier. 

7. Le commissaire écouta quelques instants, puis il siffla entre ses dents. 

 

Faites les activités suivantes.

1. Présentez M. Chavachol, précisez son apparence, son métier, dites d'où est-il, n'oubliez pas ses traits particuliers.

2. Décrivez le quartier oùse sont dirigés les Villeneuvois pour aller voir M. Chavachol.

3. Ditez si un léger chuintement de M. Chavachol empêchait la compréhension entre lui et les Berlurettois?

 

Assossiez chaque acte de communication à son équivalent russe.

1. Vite! Démarrez et accélérez! En avant! A. Тревога!
2. Diantre non! B. В любом случае!
3. Ne faites pas d'illusions à ce sujet! C. Не совсем!
4. Figure-toi que ... D. Это лучший спектакль, который я когда либо видел.
5. Mais, dis donc! E. Не стоит здесь толпиться. Идите наружу.
6. Peu importe! F. Лучше было бы воспользоваться тем, что только что узнали.
7. Ne faites pas une moue terrible! G. Дело в шляпе!
8. Vous n'y pensez pas! H. Нет ничего проще!
9. Doucement! I. Здесь холодно как никогда!
10. Alerte! J. Я вас умоляю поверить (довериться) мне!
11. Pas exactement! K. Не важно!
12. En tout cas,... L. Помягче!
13. Pas question de manger avant d'avoir arrêté ces fripons. M. Не гримасничайте!
14. Inutile de perdre le temps! N. Много непонятного, тайного в этом деле.
15. Rien de plus facile! O. Помилуйте, что вы!
16. Je te passe M.Vernéjou. Tenez, M. Vernéjou. P. Быстрее, трогайтесь с места и двигайтесь вперед! Вперед!
17. Non, rien de grave! Tout va s'arranger, j' espère. Q. Они действуют, соблюдая бесконечные передосторожности.
18. Beaucoup de mystère plane encore sur cette affaire. R. Не может быть и речи о еде, пока не задержали этих мошенников.
19. L'affaire est dans le sac! S. Скажи уже!
20. Il fait froid ici plus que jamais! T. Бессмысленно терять время!
21. Mieux valait exploiter ce qu'on vient d'apprendre. U. Передаю трубку господину Вернежу. Держите, господин Вернежу.
22. C'est le meilleur spectacle que j'ai jamais vu! V. Не стройте иллюзий на этот счет!
23. Rien ne sert de vous entasser ici. Allez déhors! W. Нет, ничего серьезного. Все уладится, янадеюсь.
24. Je vous supplie de me faire confiance! X. Представь себе что ...
25.Ils agissent avec d'infinies précautions Y. Черт возьми, нет!

 

CHAPITRE XII

Il était dix heures du soir. M. Vernéjou venait de consulter sa montre et il avait hoché la tête en disant:

– Cela ne peut plus tarder.*

M. Vernéjou, le brave Tricoire et les écoliers du Cours Supérieur se trouvaient encore dans le commissariat et devoraient des sandwiches.

La salle était plutôt sombre et mal éclairée, un peu poussiéreuse. De temps à autre, un agent poussait la porte, glissait la tête dans l'entrebaillement et considérait avec étonnement le groupe de Berlurettois.

Ces derniers parlaient peu. D'abord parce qu'ils avaient faim et mangaient avec grand appétit. Ensuite, parce qu'ils réfléchissaient intensément. M. Vernéjou n'avait presque rien expliqué. Il se refusait à donner des explications prématurées.*

Soudain, la porte s'ouvrit.

– M. Vernéjou! appela la voix du commissaire.

Le maître d'école abandonna le banc sur lequel il était assis. Toute l'équipe l'imita.

– Alors? reprit la voix. Vous connaissez ces messieurs?

– Ce sont eux! s'écria sans hésitation le Président Petit-Beurre.

– Oui, ce sont eux! répéta Tricoire d'une voix de tonnerre.

Dans le couloir ou s'ouvrait la porte de la salle, deux personnages venaient d'apparaître, menottes aux mains. L'homme au complet bleu et l'homme au complet beige. Les moustaches noires et les moustaches rousses. Ainsi, Jean Labatut avait dit la verité. Il s'agissait bien de deux gagsters.*

– Je vous présente, dit le policier, Jojo et Bébert. Nous les avons cueillis sans difficultés chez Tatave. Ils ne s'attendaient pas à notre visite.

Un agent s'approcha d'une table et y déposa un objet que Ferdinand Berthomieu considérait avec des yeux agrandis par la surprise.*

– Ma valise! s'exclama le Géographe.

Il se précipita vers sa chère valise. Enfin, il l'avait retrouvée. Les précieus ouvrages qu'elle contenait revenaient enfin à un possesseur digne d'eux!*

Le commissaire se dirigea à son tour vers la valise et l'ouvrit avec précaution. Avant de soulever le couvercle, le policier se tourna vers l'homme aux moustaches noires.

 

* Cela ne peut plus tarder. – Теперь уже должно быть скоро.

* Il se refusait à donner des explications prématurées. – отказывался давать преждевременные объяснения

* Il s'agissait bien de deux gagsters.– Действительно, речь шла о двух гангстерах.

* avec des yeux agrandis par la surprise– широко открытыми от удивления глазами

* Les précieus ouvrages qu'elle contenait revenaient enfin à un possesseur digne d'eux!– Ценные работы, которые в нем находились, возвращались, наконец, к их достойному обладателю!

 

 

– Hein, Jojo, toi aussi, tu as dû être étonné* quand tu as ouvert cette valise?

Jojo haussa les épaules avec un air de profond dégoût.

– Figurez-vous, expliqua ironiquement le commissaire, que notre ami Jojo et notre ami Bébert ont été très étonnés quand ils ont ouvert cette valise. Ils croyaient y trouver tout autre chose. Ils croyaient y trouver quinze millions de francs! Les quinze millions y avaient été déposés par eux-mêmes! Ils en étaient sûrs. Ils n'avaient pas rêvé. Or, quand ils ouvrirent cette valise au trésor, ils aperçurent ...

Le policier souleva le couvercle. Toutes les têtes se penchèrent vers la valise ouverte.

– Ils aperçurent ce que vous apercevez en ce moment, c'est-à-dire une magnifique collection de papillons!

– Cest bien ce que je pensais, dit M. Vernéjou entre ses dents.

Puis, s'adressant au commissaire, le maître d'école demanda:

– Avez-vous téléphoné à Montauban, M. le Commissaire?

– Oui, mais je n'ai pas encore de réponse.

Jojo et Bébert très intrigués regardaient l'instituteur. Celui-là paraissait au courant.* Eux-mêmes n'avaient encore compris.

– Que c'est beau! dit Henriette.

Dans la valise ouverte, les Berlurettois pouvaient admirer une magnifique collection de papillons exotiques. Leurs larges ailes soigneusement étalées montraient milles nuances* de pourpre et d'azur. On pouvait les croire tissées de pierres précieuses,* de fils d'or, d'argent, de corail suivant l'angle du regard,* les ailes changaient de couleurs. Les reflets bleus remplaçaient les reflets verts.

– Oui, c'est beau, dit le Géographe piteusement, mais ça ne me rend pas ma valise.

– Votre valise, jeune homme? dit le commissaire avec un sourire.

Il s'écarta. Un deuxième agent apparut portant une deuxième valise jaune qu'il déposa près de la précédente.

Une valise identique à la première.

– Nous l'avons, elle aussi, découverte dans la chambre de ces messieurs, chez Tatave!

Ferdinand se précipita une nouvelle fois.

 

* toi aussi, tu as dû être étonné– ты, должно быть, тоже удивился

* Celui-là paraissait au courant.– Этот, казалось был в курсе дела.

* Leurs larges ailes soigneusement étalées montraient milles nuances– их широкие, тщательно расправленные крылья переливались тысячью оттенков.

* On pouvait les croire tissées de pierres précieuses – можно было подумать, что они затканы драгоценными камнями, золотом, серебром и кораллами.

* suivant l'angle du regard– в зависимости от того, как (под каким углом) смотреть

 

 

C'était bien sa valise. Heureusement rien n'y avait été touché. Les vêtements et les livres s'y trouvaient en désordre, mais le Géographe reconnaissait sa chemise à carreaux, sa chemise verte, ses tricots, sa cravate neuve, le livre sur la Seine et le livre sur Paris que son père lui avait offert.

– Oui, je la reconnais, dit-il avec force. Tous ces objets m'appartiennent.

– Je n'y comprends rien, chuchota Blanche à Henriette. C'est de la prestidigitation. Comme au Musée Grévin.

Mme Vernéjou se pencha vers son mari.

– Enfin, m'expliqueras-tu? Tout cela est bien bizarre.

– Tout cela est bien simple, dit l'instituteur.

– Tout n'est pas encore réglé,* dit le commissaire. Il nous manque quinze millions. Les fameux quinze millions que Jojo et Bébert ont perdus.

– Nous les retrouverons! dit M. Vernéjou avec assurance.

Les deux gangsters lui jetèrent alors des regards à la fois intrigués et furieux. Cet instituteur était plus fort que Sherlock Holmes!*

***

– Ho, Ferdinand, reprends un peu de saucisson! Du saucisson d'Auvergne, garanti!* C'est Chavachol qui me l'a donné pour vous. Allons, les enfants, mangez! Il faut se nourrir sérieusement. Le voyage n'est pas terminé ... Hé, M. Vernéjou, vous ne buvez pas. Tricoire, sers donc M. Vernéjou ... Mme Vernéjou, encore une tranche de pâté? Mais si, mais si ... Peut-être, vous ne l'aimez pas? Du pâté comme à Villeneuve. Ma femme n'a pas oublié la recette.

Après son bref séjours au commissariat de Pigalle, l'équipe de la Berlurette, au grand complet, était revenu à l'Hôtel du Languedoc. Malgré les sandwishes mangés au commissariat, les Villeneuvois mangaient avec appétit en discutant des événements de la soirée. Mme Barbassou allait et venait* infatigablement. Barbassou présidait la tablée et surveillait avec affection chacun de ses hôtes.

Flambuscat, très curieux, s'adressa à son maître.

– Oh! M. Vernéjou, maintenat nous sommes tranquilles, expliquez-nous un peu!

– Bon, je vais vous expliquer, dit le maître. Comme je vous ai déjà dit, c'est fort simple. Nous avons effectivement voyagé de Toulouse à Paris en compagnie de deux gangsters, en bon français deux cambrioleurs.

 

 

* Tout n'est pas encore réglé– еще не все улажено

* Sherlock Holmes– Шерлок Холмс – знаменитый сыщик, герой произведений Конан-Дойля

* garanti– с гарантией

* allait et venait – ходила взад и вперед

 

Ils venaient tous simplement de s'approprier* quinze petits millions dans une banque toulousaine. Oui, une attaque à main armée.* Hélas! Ces choses-là arrivent assez souvent et les journaux parlent beaucoup de ce genre d'exploits! Donc, ce Jojo et ce Bébert avaient volé la banque et avaient pris le train à toute vitesse emportant une valise bourrée de billets. Ils étaient pressés ... Ils étaient si pressés que le nommé Jojo bouscula notre ami Tricoire et notre brave Ferdinand ...

– Ah! le bandit! gronda le cafetier. Je le savais bien que c'était un malfaiteur ... Barbassou, passe-moi les olives ... Merci.

– Son complice, poursuivit M. Vernéjou, se trouvait dans la foule à ce moment-là mais les deux personnages faisaient mine* de ne pas voyager ensemble ... donc, il y eut bousculade. Les valises tombèrent. Le train allait partir.* Quand nos voyageurs se relevèrent, ils avaient sans s'en douter échangé leurs valises.* Le gangster emportait la valise de Ferdinand, Ferdinand emportait la valise aux quinze millions!

Flambuscat sifflota. Quinze millions! Dire qu'on avait voyagé en compagnie de quinze millions!

– Bien entendu, pendant leur voyage, les deux malfaiteurs découvrirent la substitution. C'est alors qu'ils se rencontrèrent dans le soufflet et discutèrent sur les moyens de récupérer la valise au trésor. Jean entendit leur dialogue. Hélas! ils n'osèrent pas trop se faire remarquer* et ils attendirent l'arrivée. A l'arrivée, un complice en auto était là. Ils hésitèrent encore. Heureusement, notre Jean Labatut était sur les gardes.* Quand ils s'approchèrent du trottoir pour arracher des mains de Ferdinand le précieux bagage, Jean réagi et bouscula Ferdinand. Les bandits attendirent encore. Ils nous suivirent jusqu'à la Tour Eiffel. Et là, ils s'emparèrent enfin de leur valise, de ce qu'ils prenaient pour la valise bourrée de billets.*

– Là, je ne comprends pas, dit Mme Vernéjou. Ils auraient dû* prendre leur valise et rendre celle de Ferdinand. S'ils l'avaient fait, nous n'aurions rien remarqué.

– Très juste. C'était sans doute leur intention, mais ils n'ont peut-être pas pu ... On commet toujours une faute! Et puis, de toutes manières, la valise aux quinze millions avait disparu.

 

* Ils venaient tous simplement de s'approprier– они просто присвоили себе

* une attaque à main armée– вооруженное нападение

* les deux personnages faisaient mine – оба делали вид

* Le train allait partir – Поезд вот-вот должен был отйти.

* ils avaient sans s'en douter échangé leurs valises.-они, сами того не подозревая, обменялись чемоданами

* ils n'osèrent pas trop se faire remarquer– они боялись обратить на себя внимание

* était sur les gardes – был на чеку

* de ce qu'ils prenaient pour la valise bourrée de billets.– тем, что они приняли за чемодан, набитый деньгами

* Ils auraient dû – они должны были

 

– Où était-elle? demanda Blanche ...

– Elle n'était plus entre nos mains. La valise que Ferdinand transportait, contenait une collection de papillons. C'est la valise que vous avez vue tout à l'heure ...

– J'ai compris, cria Ferdinand. J'ai compris: la valise aux quinze millions, c'est l'entomologiste qui l'a emportée.

– Eh! oui! dit le maître en souriant. Ce monsieur qui est descendu précipitamment à Montauban avait, sans le vouloir, échangé sa valise avec celle de Ferdinand. Comprenez-vous? Il y a eu double substitution.* Les livres de Ferdinand contre* les quinze millions. Puis les quinze millions contre les papillons. La valise que les deux coquins ont récupérée à la Tour Eiffel, c'était celle du monsieur de Montauban. D'où la nouvellle colère de la bande. Ils n'y comprenaient rien. Et ils avaient perdu notre trace. C'est pourquoi ils se mirent à nous rechercher dans Paris. Ils ne tenaient cependant pas à se faire tellement remarquer.* J'imagine qu'ils voulaient: l'adresse de notre Hôtel afin d'y venir récupérer leur trésor ... Quand ils ont poursuivi Jean Labatut, peut-être n'avaient-ils d'intention de lui faire du mal. Ils voulaient simplement notre adresse!

L'assistance se tourna vers l'un des héros du jour, le Président Petit-Beurre, lequel rougit un peu et baissa modestement les yeux.

– Je te félicite, Jean, dit M. Vernéjou, tu n'as pas perdu la tête.

– Je me doutais un peu de ce qui se passait, dit Jean. J'avais compris que ces gangsters ne s'intéressaient à quelque chose que nous transportions.

– Et les quinze millions? demanda Flambuscat.

– Oh! je ne suis pas inquiet. Le monsieur de Montauban m'a l'air d'un honnête homme.* Il a sans doute remis la valise au commissariat le plus proche ou tout simplement aux objets trouvés.* Nous saurons cela bientôt. En tout cas, le commissaire m'a informé que toute la bande se trouvaient en prison. Le nommé Tatave est un hôtelier suspect, connu depuis longtemps de la police. Quant au Barbu, c'était un autre complice. Vous pouvez dormir tranquilles, mes enfants. Les voleurs ne viendront pas vous déranger ce soir.

– Tout de même, dit Tricoire, dans ce Paris, il en arrive des aventures.

– Eh quoi! lui répondit Barbassou avec une nuance d'aigreur. Ces gangsters, ils sont venu de Toulouse!

 

 

* Il y a eu double substitution.– Произошла двойная замена

* contreзд. на

* Ils ne tenaient cependant pas à se faire tellement remarquer. – Между тем, они вовсе не хотели привлечь к себе внимание.

* m'a l'air d'un honnête homme.– производит на меня впечатление честного человека

* les objets trouvés– бюро находок

 

 

– Au fait, c'est vrai! admit Tricoire. Pauvre Barbassou! Nous l'avons causé beaucoup de désagréments!*

– Pas du tout! J'en suis bien content. Cela me fait plaisir. M. Vernéjou, le rôti va refroidir ... Basile, passe donc le rôti à M. Vernéjou! Après ça, nous boirons le champagne!

– Tout de même! remarqua Cantaloup, nous avons eu de la chance de retrouver* la valise de Ferdinand. Ces brigands auraient pu s'en débarasser.*

– Non pas, dit M. Vernéjou. Il la conservaient précieusement. Le commissaire l'a retrouvée dans la chambre où ils s'étaient réunis. Ils comptaient la rendre en récupérant l'autre. Ainsi ils s'imaginaient que nous aurions été satisfaits et que nous aurions oublié l'incident.

– Vive le Président! hurla Basile, le verre en main.

– Basile, un peu de retenue!* dit Mme Vernéjou. M. Barbassou, vous l'avez fait trop boire.

– Hé, ce n'est rien! dit Barbassou avec une grimace terrible. C'est du vin des collines de Villeneuve. Il donne du coeur!* si ces brigands en buvaient au lieu de boire du viski, ils seraient plus honnêtes et ne feraient pas tant de cambriolages.

 

* Nous l'avons causé beaucoup de désagréments!– Мы причинили тебе большие неприятности!

* nous avons eu de la chance de retrouver – нам повезло, что мы нашли

* Ces brigands auraient pu s'en débarasser. – Эти бандиты могли постараться избавиться от него.

* un peu de retenue!– немного выдержки!

* Il donne du coeur!– оно придает мужество!

Questions et activités après la lecture du chapitre 12

I. C'est à vous d'enrichir le vocabulaire

Nommez les mots de la même famille que les mots ci-dessous.

  • étonnement m
  • colère f
  • substitution f
  • ouvrage m
  • dialogue m
  • bagage m
  • prison f
  • dégoût m
  • collection f
  • désagrément m
  • honnête →

· agrandi,-e →

· précipitamment →

· précieusement →

· effectivement →

 

Faites le féminin des adjectifs suivants.

  • poussiéreux →
  • agrandi →
  • profond →
  • étalé →
  • précieux →
  • précédent →
  • simple →
  • nommé →
  • étonné →
  • prématuré →
  • magnifique →

Conjuguez les verbes suivants à l'indicatif.

au présent:vouloir, envoyer, naître, mourir,

au passé composé:valoir, renvoyer, reconnaître, parcourir

au passé simple:savoir, envoyer, naître, mourir

à l'imparfait:voir, renvoyer, naître, mourir

au futur simple:vouloir, envoyer, connaître, accourir

Transformez les verbes de communication donnés aux substantifs.

 

  • admettre →
  • informer →
  • gronder →
  • poursuivre →
  • siffloter →
  • questionner →
  • féliciter →
  • hurler →
  • murmurer →
  • nommer →
  • énumérer →
  • appeler →






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