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La maison de campagne



 

a) Dans le bar du village

- Que c'est calme, la vie de campagne!

- ?!

- Nous habitons à la ville. C'est bruyant. Les voitures vont et viennent sur l'autoroute qui est près de chez nous. Les avions survolent au-dessus de notre immeuble. C'est cauchemar!

- Voulez-vous changer l'immeuble? Je vais vendre la maison.

- Pouvez-vous décrire votre maison?

- Bien sur! Eh bien... C'est une maison à un étage. Au rez-de-chaussée il y a un garage. À gauche de la porte du garage, c'est l'entrée. Vous montez l'escalier, vous entrez dans la maison et vous voilà dans un large couloir. Puis, à droite, il y a une grande cuisine et plus loin la salle à manger. Outre cela, au rez-de-chaussée il y a un grand salon et les toilettes.

- Et où sont les chambres?

- Elles sont au l-er étage.

- Combien vous en avez?

Il y en a quatre. Il y a aussi une salle de bains et encore des toilettes à gauche du couloir.

- Les chambres sont grandes?

- Oh oui! C'est grand et c'est clair! Il y a deux ou trois fenêtres dans chaque chambre.

- Où se trouve la maison?

- À 2 km du village.

- Mais elle est isolée.

- Pas du tout! La maison où j'habite est à côté. Et l'endroit est magnifique! Il y a la rivière tout près et la forêt non loin. Dans la rivière il y a beaucoup de poissons. Que j'aime pêcher! Près de la maison il y a un jardin! Qu'est-ce vous voulez de mieux?!

- Nous voudrions élever des animaux domestiques. Y a-t-il un bâtiment convenant pour eux?

- Oui, il y a une grange derrière la maison.

 

b)

- C'est vous, le concierge du 117?

- Oui, Monsieur.

- M. et Mme Dupont habitent bien ici?

- Oui, Monsieur.

- À quel étage, s'il vous plaît?

- Vous montez 6 étages, et vous frappez à la porte de gauche. Attention! Ne frappez pas à la porte de droite: là, il y a des bureaux

- Où est l'ascenseur?

- II n'y a pas d'ascenseur dans la maison. Allez dans la cour, et prenez l'escalier.

- 6 étages à monter à pied!

- Vous avez peur de ça? Moi, je monte chez M. Dupont quatre fois par jour et je descends 4 fois. Et je ne suis pas encore mort!

 

7. Repas à Broussac

 

a) Dans un café

- Madeleine, tu n'as pas faim?

- Si, un peu.

- Entrons dans cette boite. Tu veux?

- Voilà. Regarde la menu. Qu'est-ce que tu choisis comme entrée?

- Une salade de tomates. Et toi?

- Moi aussi. Et comme plat du jour? Je voudrais des tripes. Ici, on sait préparer les tripes. Elles sont excellentes. En Normandie, c'est le plat traditionnel.

- Je n'ai jamais mange des tripes. Je vais goûter.

- Et qu'est-ce que tu prends pour le dessert?

- Un peu de fromage et un gâteau au chocolat.

- Et pour boire?

- Je voudrais un peu de vin rouge.

- Moi, je préfère la bière. Garçon! Deux tripes, deux salades de tomates, du fromage, un gâteau au chocolat, une glace, une bouteille de Bordeaux et deux bières.

 

b) Chez le boucher.

- Alors, madame Martel, qu'est-ce que c'est pour vous aujourd'hui?

- Je voudrais du bœuf.

- Attention: il est cher cette semaine.

- Et le mouton?

- Aussi.

- Alors?

- Vous ne voulez pas de veau pour mettre à la casserole?

- Le médecin a dit à mon mari: pas de viande à la casserole, c'est lourd!

- Oh! les médecins...

- Ils savent leur métier tout de même. Moi je ne mange plus de pâte ni de jambon; il paraît que ce n'est pas bon pour la santé.

- Qu'est-ce que vous mangez alors?

- Des carottes, des tomates, de la salade...

- Rien que des légumes? Mais il n'y a que de l'eau là-dedans! II faut autre chose à un homme qui travaille dur. On dit qu'il vaut mieux aller chez le boucher que chez le médecin.

- Oui... Tenez: mettez-moi donc une livre de veau et un kilo de bœuf bien rouge!

 

(G. Mauger, M. Bruezière, "Le français accéléré")

 

c)

- Tony, dit l’épicier à John; vous êtes un bon client: voilà pour vous: une bouteille de bon whisky... Attendez! vous passez devant la porte de Jim? C'est aussi un bon client: vous lui donnerez aussi sa bouteille.... John. devant la porte de Jim, tombe et casse une des deux bouteilles: "Pauvre Jim!" dit-il.

 

(D’après Léon Treich, Histoires anglaises, Gallimard.)

 

d) Monsieur fait sa cuisine.

- Le matin je déjeune chez moi. Je bois une tasse de café au lait, et je mange un morceau de pain avec du beurre. À midi, je déjeune au restaurant. Le soir, je fais ma cuisine chez moi.

- Tout seul?

- Non, avec André. Nous faisons tous deux notre cuisine.

- Mais il faut faire le marche, acheter des provisions...

- Ce que nous faisons est plus simple et plus facile. Nous commençons le dîner par un potage express (tout préparé). Nous le faisons cuire en 2 minutes dans l'eau chaude. Nous mangeons un peu de jambon et une salade de tomates. Nous finissons le dîner par un morceau de fromage et des confitures. Vous voyez, c'est simple!

- Mais il faut laver la vaisselle!

- Nous faisons ça à l'eau froide! Deux couteaux, deux cuillers, deux fourchettes, 3 ou 4 assiettes, un plat, une casserole: c'est vite fait.

- Oui, mais est-ce bien fait?

 

(G. Mauger, M. Bruezière, "Le français accéléré".)

 

e) L'omelette au jambon

- Alors, monsieur Duparc, vous faites le marché aujourd'hui?

- Que voulez-vous? Ma femme est chez des amis.

- Et vous pas?

- Moi, je travaille! L'un gagne de l'argent et l'autre en dépense...

- Qu'est-ce que vous allez acheter?

- D'abord, deux potages express.

- Et puis?

- Je voudrais me faire une omelette au jambon. Ma femme n'aime pas ça... elle ne veut jamais en manger!

- Vous savez faire une omelette?

- Ce n'est pas difficile. Je commence par casser trois œufs dans une assiette. Je les bats avec une fourchette. J'ajoute du poivre, du sel. Je mets à cuire mon jambon, en petits morceaux. Ensuite je mets un plat sur le feu, avec un peu de beurre. J'y mets les œufs, le jambon, un peu de lait et je fais cuire doucement.

- Où avez-vous appris tout ça?

- Dans le gros livre de cuisine que, le mois dernier, j'ai acheté à ma femme pour sa fête.

- Très bien! Mais vous avez pensé à vous aussi...

 

(G. Mauger, M. Bruezière, "Le français accéléré".)

 

f)

Le client. – Alors, garçon, vous avez bien entendu: je voudrais du poisson et un peu de fromage.

Le garçon – Pas de viande?

- Non, merci.

- Et pour boire? Du rouge, du blanc?

- Jamais de vin.

- De la bière, alors?

- Non plus: de l'eau.

- De l'eau? Manger du fromage sans prendre un verre de vin? Je n'ai jamais vu ça!

- La santé d'abord.

- Le vin n'a jamais fait de mal a personne. Mon père en boit depuis 60 ans: il se porte très bien. Et puis, l'eau, ça vous donne des maladies. Elle n'est pas toujours propre, vous savez.

- Eh bien, vous me donnerez une bouteille d'eau minérale.

- Et avec votre café, rien non plus? Un petit verre d'alcool... et le déjeuner passe mieux!

- Malheureux! De l'alcool! Vous buvez de l'alcool! Mais l'alcool tue, lentement!

- Oh! vous savez, je ne suis pas presse...

 

(G. Mauger, M. Bruezière, "Le français accéléré".)

 







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