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Conventional resources consulted during the experiment



British Computer Society (1991): A Glossary of Computing Terms (7th ed.), London, Pitman.

GIBILISCO, S. and N. SCLATER (Eds) (1990): Encyclopedia of Electronics, Blue Ridge Summit, PA, TAB. GLOVER, G. (1990): Image Scanning for Desktop Publishers, Blue Ridge Summit, PA, Windcrest. GUNTON, T. (1990): A Dictionary of Information Technology and Computer Science, Oxford, Blackwell. Hewlett-Packard co. (1993): Hp Deskscan II User's Guide.

JOSEPH, C. (1995): "Scan-o-rama", The Mac, Vol. 3, No. 7 (July 1995), pp. 63-67. MCCLAIN, G. (Ed.) (1994): 21st-Century Dictionary of Computer Terms, New York, Laurel.

NADAR, J.C. (Ed.) (1995): Prentice Hall's Illustrated Dictionary of Computing (2nd ed.), New York, Prentice

Hall.

SPENCER, D.D. (Ed.) (1995): The Computer Dictionary, Ormond Beach, FL, Camelot.

 

 

APPENDIX 1

 

SOURCE TEXT # 1

 

Instructions:Translate the following text as if it were to be published in a semi- specialized journal.

 

Le scanner

Toutefois, quelle que soit leur sensibilité aux nuances, leur rapidité, leur précision, ou la manière dont la tête et le papier se déplacent, tous les scanners reposent sur le même principe, exposé ici en prenant l'exemple d'un scanner à plat.

1) Une source de lumière éclaire le document, placé contre une vitre située au-dessus du mécanisme du scanner. La lumière est plus ou moins réfléchie, selon la densité de chaque zone du document. Un espace blanc la réfléchit au maximum, un espace noir au minimum.

2) La tête de numérisation du scanner se déplace à travers la page, la décomposant en points de mesure distants de moins d'un dixième de millimètre, et capte à chaque point la lumière réfléchie.

3) Dans le scanner à plat, la lumière circule à travers un système de miroirs qui doivent pivoter continuellement afin de garder le faisceau aligné sur une lentille.

4) La lentille concentre le faisceau lumineux sur des photodiodes sensibles à la lumière qui traduisent l'intensité lumineuse en courant éléctrique. Plus il y a de lumière réfléchie, plus il y a de voltage.

5) Un circuit électronique associe alors à chaque mesure analogique de voltage un pixel particulier, représentant une zone noire ou blanche, ou d'un certaine niveau de gris, ou encore un certaine teinte, selon le degré de sophistication du scanner. Le processus se répète à chaque point analysé, à raison de 300 points par pouce pour la plupart des scanners au marché (voire plus pour certains).


 

 

NATIVE-LANGUAGE CORPORA AS A TRANSLATION RESOURCE 21

 

 

6) L'information numérique est envoyée au programme de contrôle du scanner, exécuté par le micro-ordinateur, qui la mémorise dans un format de fichier que peuvent reconnaître les logiciels graphiques ou de reconnaissance de caractères.

 

Source: JÉRÔME, M. (1991): "Le scanner", Science et Vie Micro janvier, pp. 150-151.

 

 

SOURCE TEXT # 2

 

Instructions:Translate the following text as if it were to be published in a semi- specialized journal.

 

Le scanner

Il existe trois types de scanners, différenciés essentiellement par la manière dont la page qui contient l'image, et la tête de numérisation du scanner qui la lit, se déplacent l'une par rapport à l'autre. Dans un scanner à rouleau, le document est entraîné devant la tête de numérisation qui se déplace latéralement, comme une tête d'imprimante matricielle. Dans un scanner à plat, le document est posé sur une vitre, comme sur un photocopieur, la tête de numérisation se déplaçant à la fois sur la largeur et sur la longueur de la page analysée. Quant au scanner à main, il requiert comme son nom l'indique la main de l'utilisateur, qui balaye de haut en bas le document à numériser.

Chaque méthode comporte ses avantages et ses inconvénients. Le scanner à plat exige

toute une série de miroirs pour renvoyer l'image qui sera captée par la tête mobile vers une lentille qui la dirigera à son tour vers un capteur. Comme aucun dispositif à miroir n'est parfait, chaque fois que l'image est reflétée, elle subit une déformation. En revanche, l'avantage du scanner à plat est qu'il peut balayer des documents de grandes dimensions ou très épais, des livres notamment.

Inversement, si avec un scanner à rouleau l'image est captée avec plus de fidélité, on est ici

limité à la numérisation de documents peu épais. Ce type de scanner est sans doute le meilleur pour des applications telles que la reconnaissance de caractères, pour laquelle la précision est extrèmement importante.

Le scanner à main est quant à lui un compromis. Il est capable de balayer des pages de livres, mais sa "fenêtre" de numérisation est beaucoup plus petite que celle des deux autres catégories de scanners. De plus, la qualité du résultat dépend essentiellement de la fermeté de la main de l'utilisateur.

 

Source: JÉRÔME, M. (1991): "Le scanner", Science et Vie Micro, janvier, pp. 150-151.







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